Marie-Hélène GUEREAU, secrétaire générale d’Isocel37, affirme que le temps partagé est « vraiment le mode d’emploi de demain ». Le travail en temps partagé permet aux entreprises, notamment, de s’appuyer sur des fonctions supports auxquelles elles ne pourraient pas recourir autrement, comme en matière de communication par exemple.

Emmanuel DE PREMONT, président du groupe Finaxim, estime à environ 430 000 le nombre de professionnels qui pourraient recourir au temps partagé.

L’une des principales différences avec l’intérim est que les Groupements d’Employeurs sont à but non lucratif. L’avantage pour le salarié en temps partagé est qu’il peut suivre des projets sur le long terme dans les entreprises dans lesquelles il est mis à disposition.

Pour plus d’informations consultez ce lien pour voir l’intégralité de l’article du Parisien du 18 septembre 2018.